J'ai pas aimé :
- Cette fin de saison a rallonge. Le championnat est plié depuis le mois de mai, mais malgré ça, on a vu pas mal de belles courses, durant lesquelles Vettel a été bien bousculé. Mais à partir de la reprise fin août, et surtout pendant la tournée asiatique, c'était archi-archi ennuyeux.
- Le DRS. Pas forcément le principe en lui-même (même si ça évite de se pencher sur les vrais problèmes, ce qui n'est pas une bonne chose), mais le manque de discernement avec lequel il a été utilisé par la FIA. Sur certaines courses, la facilité à dépasser était risible. Ça gâchait tout.
- L'extrème fiabilité des monoplaces (la tendance n'est pas récente). Ou sont les fins de course à suspense où on serrait les fesses en espérant qu'aucune tuile ne s'abatte sur nos pilotes préférés, tout en se réjouissant de voir un sans-grade décrocher de gros points de manière inespérée ? Et puis c'est beau un moteur qui part en fumée.
- Les qualifs, sans le moindre intérêt, avec cette Q3 grotesque où il fallait économiser les gommes
J'ai aimé :
- La saison de Button, qui a su prendre l'ascendant sur Hamilton. Ça promet un beau match retour, avec une ambiance peut-être un peu moins à la rigolade entre les deux, car le duel ne va pas se jouer que sur la piste mais aussi en interne. Parce que chez Red Bull et Ferrari, faut pas espérer grand chose...
- Les Pirelli
- Les quelques courses à grand spectacle. Comme le GP du Canada ou le GP de Hongrie. Bon, y'a pas de secret, en F1, c'est la pluie qui fait le show.